Ludmilla, UN PIANO DANS LE TÊTE, SORTIE DE LIVRE LE 16 DÉCEMBRE 2026
Ludmilla, UN PIANO DANS LE TÊTE, SORTIE DE LIVRE LE 16 DÉCEMBRE 2026
LUDMILLA, UN PIANO DANS LE TÊTE,
SORTIE DE LIVRE LE 16 DÉCEMBRE 2026
" 18 HEURES DE PIANO PAR JOUR"
Ludmilla Guilmault une artiste originale, BATTANTE, UNE LIONNE , COMBATIVE.
Synopsis :
Au premier regard , elle ressemble à une Rock Star, forte personnalité, beaucoup de sensibilité et de force de caractère qui vit et ressent avec passion le piano ,elle est l'incarnation même de l'artiste indépendant et rebelle avec une envie de vivre qui vous emporte .
J'ai tout de suite senti que j'avais la chance d'avoir en face de moi quelqu'un de vrais, de rare avec son petit jardin secret autant de choses qui ont été les éléments déclencheurs de ce film.
Un bel après -midi de printemps , posé sur la table d'un bistrot Montmartrois on a décidé de laisser tourner mon petit magnétophone et Ludmilla raconte :
« La passion de la musique m'a été transmise dans les gènes, mère musicienne, chef d'orchestre qui a connu le commandement de Franco, souffrance de vie .
Grand-mère felisa Toreccillas espagnole, mélomane assidue, intéressée par mon piano, mon répertoire...elle passait des heures à m'écouter sur son divan.
A l'âge de mes 4 ans, un âge percutant , décisif, pour moi c'est le déclenchement, fibre pianistique qui me pénètre la sonorité du piano, un disque écouté à l'âge de 4 ans, et la passion qui ne m'a jamais quittée, j'étais faite pour être pianiste, les journées sont des entraînements, piano , une journée sans c'est une journée de sacrifiée, c'est une vie de labeur sacrifiée pour le piano c'est une passion plus forte que soi ,acharnement solitude, j'ai subi un huis-clos comme une prison, parfois destructrice, sans sortir sans respirer sans voir personne ,sans amis , les proches ne me comprennent , je résiste aux déferlements des critiques, je passe outre, mon destin est tracé, des journées qui ne se ressemblent pas , travail le mot pour moi qui a du sens pour obtenir le résultat escompté.
Le talent certes ne suffit pas. De 4 à 12 ans Conservatoire, rencontres importantes, Magda Tagliaferro, pianiste Brésilienne , refuge de la vie qui est insaisissable, je me cache de la réalité que je n'accepte pas, perdre ses proches, la maladie, c'est ma carapace le piano, consécration ,auto-destruction jusqu'à l'épuisement ,c'est le serment de ma vie.
Faire des concerts pour les fins de vie c'est ma Renaissance, transmettre ces moments de musique rien qu'avec ses doigts, cela devient Magique, insaisissable.
La transe, la niaque, la force intérieur, car aujourd'hui personne ne m'a bien comprise , cette soif de reconnaissance, cette manière de vivre atypique de la normalité, c'est une résilience, pour moi travailler jusqu'à destruction de ses doigts du matin au soir , c'était comme cela .
La solitude de se retrouver le soir seul après les concerts, sacrifice durant 365 jours à l'âge de 12 ans, 6h et demi minuit avec 10 minutes pour manger et oui cette rage de vaincre est né avant ma naissance.
Je tiens de mon père qui a perdu sa mère et son père, et adopté , pupille de la nation a 12 ans, nos parcours se ressemblent , faire son chemin, semés d'embûches, comme seule arme , sa force indestructible intérieur ,cette rage de vaincre , ce labeur le piano, ne jamais rien, lâcher malgré la difficulté, se battre jusqu'au dernier souffle de sa vie, c'est ça ma vie .
mon destin, sur le terrain, parcours atypique, jamais satisfaite, un éternel recommencement, questionnement, peut-être à cause de la souffrance de mes parents souffrants de leur propre vie, un refuge pour oublier ce manque de soutien affectif.
Les déplacements, face à l'incertitude de se trouver seule, dans un pays lointain, mais le public est là et vous attend.
Cela vous transporte, je déplace ma maison dans mes valises, livres , partitions, souvenirs, objets, je laisse mes 9 compagnons de parcours, mes pianos anciens dans une maison délabrée.
Une centaine de pays , et un nouveau public , la richesse des rencontres, des moments intenses, en sachant que c'est éphémère......
Le combat n'est pas fini, le chemin , c'est le bâton de pèlerin du matin au soir.
La vie est là, survivre aux intempéries, et prenons avec soif l'instant présent, vivre le moment pour le rendre unique, comme le dernier souffle.....
-Pianiste concertiste ,reconnue par mes pairs, György Cziffra , Tatiana Nikolaeva, Magda Tagliaferro, premier prix de piano du Conservatoire à 16 ans. Je ressemble à une Rock Star sur scène , forte personnalité, beaucoup de sensibilité et de force de caractère qui vit et ressent avec passion le piano ,je suis l'incarnation même de l'artiste indépendante et originale avec une envie de partager la richesse et la beauté du répertoire pour le piano.